Regroupe trois villages: GIGEAN, POUSSAN et MONTBAZIN
Père Bogdan LESKO, curé.

ANNONCES du 21 au 28 avril 2024

(Historique de l'agenda)

S.E.M. Service de l’Évangile auprès des Malades et des personnes âgées

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« De quoi discutiez-vous en marchant ? » ( Lc 24, 17).
C’est cette question de Jésus qui donne sa tonalité à cette journée. Vous avez bien sûr reconnu la question que Jésus pose aux deux disciples sur le chemin qu’ils ont pris pour quitter Jérusalem. Ils viennent de vivre une épreuve tragique et qu’ils n’ont pas encore vraiment quitté. Elle habite encore leur cœur et leurs pensées.


C’est dans ce contexte que Jésus les rejoint et que, chemin faisant, il les conduit à sortir de leur enfermement pour s’ouvrir à la vie. Le chemin d’Emmaüs est le récit d’un itinéraire qui va de la mort à la Vie,
Le chemin d’Emmaüs est le récit d’une rencontre ; une des nombreuses rencontres faites par Jésus sur les chemins de Galilée, de Judée ou de Samarie.
Ces rencontres sont riches d’enseignement pour nous qui voulons être ses
disciples.
Regardons précisément quelques rencontres de Jésus dont nous parle les évangiles. Elles peuvent être inspirantes pour nous.

Ouvrons les évangiles et commençons par regarder ce qui nous est dit de la manière dont Jésus entre en relation.
Ainsi d’entrée de jeu, dans l’évangile selon St Marc, nous sommes placés devant l’autorité de Jésus qui enseigne. : « Ses auditeurs étaient frappés de son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité et non pas comme les scribes ». (Mc 1, 22).
Quelle est donc cette autorité ? Qu’est-ce qui se dégage de sa personne
pour qu’il soit entendu ?
Tout d’abord la référence à Dieu son Père : Jésus ne revendique jamais d’être la source de sa propre autorité. Il renvoie à plus grand que lui. L’existence entière de Jésus est consacrée à rendre présente la voix de Dieu.

Ce qui frappe aussi c’est que pour Jésus l’Evangile n’est pas un simple mot ou message à transmettre, une information à donner. Mais c’est une réalité qui prend corps dans ses relations, grâce à sa manière à lui de s’y engager. Jésus fait retentir la voix de l’Evangile dans un cadre humain précis, marqué par un climat d’hospitalité. Cela se passe aussi à l’improviste : sur les routes, et au bord de mer, mais aussi dans des lieux de rassemblement comme les synagogues et aussi dans des maisons où il mange avec le tout- venant et même avec la catégorie rejetée des pécheurs publics.
Jésus n’étale pas des informations dont il aurait le secret, ni ne commence par énoncer des injonctions qui le mettrait dans une position de privilégié. L’enseignement de Jésus ne propose pas un savoir, mais initie à une expérience de foi, expérience que personne ne peut faire à la place d’un autre.
On peut à cet effet, parler d’une véritable pédagogie du Christ. Elle peut se résumer de la manière suivante : l’accueil de l’autre, notamment du pauvre et du petit, du pécheur comme une personne que Dieu aime et recherche, l’annonce franche du Royaume de Dieu, un style délicat et fort, l’appel à une vie soutenue par la foi en Dieu, par l’espérance du Royaume et par la charité envers le prochain. Et aussi l’usage de toutes les ressources de la communication entre les personnes, telles que la parole, le silence, la métaphore, l’image, l’exemple….
Nous voyons que Jésus créée un espace de liberté autour de lui. Il communique une proximité bienfaisante à ceux et celles qui viennent à sa rencontre. Notons aussi le fait que la rencontre avec Jésus transforme les personnes du point de vue physique, moral et spirituel.
C’est donc à la figure du Christ que nous sommes renvoyés. Nous le savons bien, et cette conviction doit toujours nous habiter en profondeur : avant toute question de méthode, toute action pastorale doit être centrée sur le Christ.
C’est ce que rappelait Jean-Paul II dans sa lettre sur le nouveau millénaire :
« Il nous faut toujours repartir du Christ…Nous ne sommes certes pas séduits par la perspective naïve qu’il pourrait exister pour nous, face aux

grands défis de notre temps une formule magique ; non ce n’est pas une formule qui nous sauvera, mais une Personne et la certitude qu’il nous inspire : Je suis avec vous ! Le programme existe donc : c’est celui de toujours tiré de l’Evangile et de la Tradition. Il est centré en dernière analyse sur le Christ lui-même, qu’il faut connaître, aimer, imiter, pour vivre en lui la vie trinitaire et pour transformer avec lui l’histoire jusqu’à son achèvement dans la Jérusalem céleste. C’est un programme qui ne change pas avec la variation des temps et des cultures… » (p. 23).

C’est donc à une contemplation du Christ que je voudrais vous inviter. Une contemplation du Christ en action.
Jésus au contact de quelques personnes : Jésus en train d’évangéliser ; Jésus en train de donner ou de redonner vie. A travers ses gestes et ses paroles, le salut de Dieu est à l’œuvre. La vie de Jésus est une vie qui sauve. Elle met en œuvre le programme dont le nom de Jésus est le raccourci : Dieu sauve.

En parcourant quelques pages d’évangile, nous pourrons nous intéresser davantage à la manière dont Jésus entre en relation avec des personnes. Cela peut devenir un modèle inspirant pour nous. Nous regarderons tout d’abord ces récits pour eux-mêmes. Ce qu’ils disent, ce qu’ils décrivent.

La toute première activité du Christ est celle de guérison ou de restauration de la vie. St Matthieu le note dès le chapitre 4, c'est-à-dire aussitôt après l’appel des disciples, quand Jésus commence son activité de prédicateur du Royaume de Dieu : « Parcourant toute la Galilée, il enseignait dans leurs synagogues, proclamait la bonne nouvelle du Règne et guérissait toute maladie et toute infirmité parmi le peuple ». (Mt 4, 23).
Les évangiles synoptiques nous le disent d’entrée de jeu : Jésus se montre d’abord, et avant tout, sensible à tout ce qui peut barrer l’accès des hommes à Dieu. Il vient libérer cet accès. Par sa présence et ses actes, il suscite un dynamisme de vie chez les personnes qu’il rencontre.

La première rencontre sur laquelle nous pouvons nous arrêter est celle de
la guérison d’un lépreux dans Mc 1, 40-45 :
Au temps de Jésus, la lèpre était considérée par des rabbins comme le châtiment de certains péchés, notamment le meurtre, le mensonge, la calomnie, l’orgueil. Le lépreux était jugé comme puni de Dieu. Il était impur, et de ce fait, se voyait exclu du Temple et de la communauté d’Israël. Socialement, il était donc mort. C’est dans ce contexte, qu’il nous faut comprendre ce récit.
Dans les récits de miracle, nous constatons que parfois c’est Jésus qui prend l’initiative, qui devance la supplication humaine : c’est le cas dans la résurrection du fils de la veuve de Naïm, la guérison de l’homme à la main desséchée. (Mc 3).
Parfois, au contraire, comme dans le cas présent, le miracle se présente comme une réponse du Christ. Nous voyons que le lépreux supplie Jésus, tombe à ses genoux, et manifeste sa confiance totale : « Si tu le veux, tu peux me purifier » (1, 40).
En réponse se manifeste la pitié de Jésus, « ému de compassion ».
A la différence des rabbins, Jésus n’évite pas le lépreux. Au contraire, il étend la main pour signifier qu’il le prend sous sa protection. Il le touche et lui dit : « Je le veux sois purifié ». Jésus ne guérit pas seulement par une parole, mais aussi par un geste : il étend la main et le touche.
Il faut bien comprendre aussi comment le comportement de Jésus constitue une rupture avec le mode de penser et d’agir de son temps.
Mais à peine le lépreux est-il guéri, que Jésus le chasse en le rabrouant. Il pose un geste de libération un peu brutal. On dirait qu’il ne veut pas que cet homme s’attache à lui, au sens où ce serait un attachement à un bienfaiteur, un attachement qui ressemblerait à quelque chose de servile. Jésus veut que cet homme retrouve sa place dans le circuit des relations humaines. Aussi, lui ordonne-t-il de se taire et de se montrer au prêtre. Non seulement il est purifié, mais il doit retrouver sa place dans la société.
Pour cela, il doit manifester que son corps n’est plus marqué négativement, et cela se fait par le biais d’une reconnaissance institutionnelle, celle du

prêtre. Jésus ne veut aucune publicité, sauf celle qui est requise pour l’avenir social du lépreux. Il lui interdit même d’en parler à qui que ce soit. Mais cela ne marche pas. Le lépreux guéri transgresse l’ordre donné par Jésus de taire sa guérison.
Cet homme libéré, purifié, devient porteur de la Bonne Nouvelle, il devient évangélisateur.1 D’un hors la loi, Jésus fait un homme libre, qui a retrouvé sa dignité d’homme. Jésus l’a fait accéder à une plénitude de vie. Il était comme privé de Dieu et le voilà prédicateur de la Bonne Nouvelle.
Le fruit de la rencontre avec le Christ ne concerne pas uniquement sa chair, mais toutes les dimensions de son être et cette rencontre lui donne une raison de vivre qu’il ne pouvait imaginer auparavant.
A cause de cette action salvifique et de la publicité qu’on en fait, le Maître
est obligé de fuir la foule qui vient à lui de toute part.
Un peu plus loin dans l’Evangile de St Marc, nous trouvons un autre récit de guérison : celui d’un démoniaque au pays des Géraséniens (Mc 5, 1-20) et dans ce récit s’intercale un autre : celui du troupeau de porcs qui va se jeter dans la mer. Il y est question, au début, d’un homme possédé d’un esprit impur qui habitait dans les tombeaux et que personne ne pouvait maîtriser. Le texte ajoute que « nuit et jour il était dans les tombeaux et les montagnes, poussant des cris et se déchirant avec des pierres » (v 5).
Une manière de dire la déchéance humaine et cet homme n’a de cesse que de continuer à s’abîmer lui-même. Et aussitôt après, st Marc ajoute :
« Voyant Jésus de loin, il courut et se prosterna devant lui » (v 6), tout en étant encore tourmenté par l’esprit mauvais qui continue à s’en prendre à Jésus : « De quoi te mêles-tu, Jésus de Nazareth, es-tu venu pour nous perdre ? ». (v 7).
Les esprits impurs s’enfuient dans les porcs qui vont se jeter dans la mer. Les gens viennent près de Jésus et à côté de lui, ils voient l’homme (le démoniaque) assis, vêtu et dans son bon sens. Et cet homme guéri

1 Note TOB : Répandre la nouvelle : litt. La parole. Ce mot a le sens technique de Parole de Dieu en 2,2 ; 4, 14-
20.33 ; rapproché du verbe proclamer qui se dit de l’Evangile, il peut suggérer que le lépreux guéri préfigure les prédicateurs de l’Evangile, cf 5, 19-20 ; 7, 36 note m .


demande à Jésus d’être avec lui (le fait d’être avec Jésus caractérise les Douze dans St Marc), mais Jésus ne le lui permet pas. Il le renvoie avec cette parole : « Va dans ta maison auprès des tiens, et rapporte leur tout ce que le Seigneur a fait pour toi dans sa miséricorde » (v 19) et l’homme proclame dans la Décapole, c’est à dire en territoire païen, ce que Jésus a fait pour lui.
Cet homme aurait voulu vivre quelque chose d’autre avec Jésus après sa guérison, mais il est renvoyé à son horizon familier, et c’est là qu’il doit être missionnaire.

Dans les récits de guérison dont il vient d’être question, nous voyons que le miracle, constitue pour celui qui en bénéficie une libération. A quelqu’un qui a connu une forme d’exclusion, de rejet de la société humaine et religieuse, ou comme dans le cas du possédé de Gérasa, d’un aliéné qui n’est plus maitre de ses décisions, Jésus redonne l’intégrité physique et psychique.
D’un marginalisé, il fait un citoyen à part entière, qui retrouve la normalité de ses rapports avec les autres. Dans les deux cas, les personnes guéries proclament la Bonne Nouvelle. Nous pourrions dire qu’ils ont aussi découvert leur vocation : être les porte-paroles des bienfaits de Dieu et comme c’est le cas, dans le second récit, cela ne doit pas les éloigner de chez eux.
Dans ces deux récits, nous voyons aussi que Jésus ne retient pas les
personnes qu’il a guérie.
Si vous le voulez, vous pouvez aussi réfléchir à la manière dont vous vous situez par rapport aux personnes rencontrées Et c’est un point délicat qu’il faut aussi regarder avec lucidité.
Pour dire les choses rapidement, nous n’en sommes pas les
« propriétaires ». Notre attachement aux personnes doit se vivre dans une distance respectueuse de leur propre liberté.

Les Evangiles nous parlent aussi de personnes qui rencontrent le Christ et qui sont mises devant un choix radical. En ce sens, nous pouvons regarder le récit de deux rencontres qui se concluent de manière différente.
Tout d’abord, la rencontre de Jésus avec celui qu’on appelle « le jeune homme riche » (Mc 10, 17-22). Un homme accourt vers Jésus, se met à genoux et lui demande : « Bon maître, que dois-je faire pour avoir la vie éternelle ? ». (v 17).
Cet homme « accourt » vers Jésus qui accueille la question. C’est une demande juste. En bon connaisseur de la Loi, Jésus lui cite des extraits du Décalogue. La pratique des commandements est une voie louable, suffisante pour parvenir à la vie éternelle.
L’homme a observé tous ces commandements. Et à ce moment-là, St Marc nous dit que « Jésus posa son regard sur lui et se mit à l’aimer » (v 20). Ce regard a quelque chose d’inoubliable. Un regard plein de tendresse et d’estime profonde. Ce regard précède l’appel que Jésus adresse alors à cet homme : l’appel à vendre ce qu’il a, à le donner aux pauvres et à le suivre. Il faut donc bien remarquer que cet appel s’adresse à un individu précis. Tout le sens de l’invitation de Jésus porte sur ces termes : « Viens, suis- moi ! », c'est-à-dire : dépasse la foi de tes pères et fais ce mouvement totalement nouveau pour devenir mon disciple.
Mais ce dépassement n’est pas facile, comme l’atteste le regard de l’homme qui devient triste. C’est seulement à ce moment, que nous apprenons qu’il était riche et que cette richesse l’a empêché de répondre à l’appel de Jésus. La pointe de ce récit n’est pas dans l’abandon des biens, mais dans l’attachement à la personne même de Jésus. Il ne s’agit pas ici seulement de se mettre à l’écoute d’un enseignement et d’accueillir un commandement même nouveau. Ce que le Christ demande, c’est de partager sa vie. Il s’agit d’adhérer à la personne même de Jésus, de partager sa vie et sa destinée. Cette rencontre manifeste ce que veut Jésus quand il demande à quelqu’un de le suivre. Jésus demande de vivre parfaitement le commandement de l’amour, son commandement, en entrant dans un mouvement de don total de soi.

Suivre le Christ ne peut être une imitation extérieure, parce que cette vie
de disciple concerne l’homme dans son intériorité profonde.
Cet épisode évangélique précède de peu l’annonce de la passion : (vv 32- 33). Suivre le Christ ne va donc pas sans un certain dépouillement, un renoncement à soi-même. Il s’agit de le suivre, Lui qui s’est fait serviteur jusqu’à la croix.

Une autre rencontre est celle de Jésus avec un collecteur d’impôts
nommé Zachée (Lc 19, 1-10).
Il s’agit du collecteur d’impôts de Jéricho qui a profité de l’occupation romaine pour s’enrichir en exploitant ses compatriotes. Il apprend que Jésus va passer dans la ville et il sent le besoin, au fond de sa conscience, de mettre un peu d’ordre dans sa vie douteuse. Mais il « est de petite taille » et la foule est comme un obstacle entre Jésus et lui. Jésus passe, lève les yeux vers lui et s’invite chez lui.
L’arrivée de Jésus renverse le mouvement de la scène. Tout nous montrait l’initiative de Zachée.
Désormais, c’est Jésus qui prend l’initiative et cela va changer la vie d’un homme. Il l’appelle par son nom. Il le connaissait donc déjà. « Descends- vite ! » : c’est à dire qu’il y a urgence. Cette initiative est tellement personnelle qu’elle va transformer son destinataire.
Cette rencontre provoque un réel changement de vie chez le collecteur d’impôts. Zachée se convertit. L’accapareur avide devient généreux et désintéressé et il rétablit la justice en allant au-delà de ce qui est exigé. Mais il faut noter que ce n’est pas seulement une conversion morale. Il appelle Jésus « Seigneur » : ce titre a valeur de confession de foi. Il confesse Jésus comme son Seigneur, alors qu’auparavant il voulait voir l’homme Jésus, dont il avait entendu parler. Zachée n’est pas justifié parce qu’il a réparé ses torts, mais il a réparé ses torts parce qu’il est justifié et parce qu’il a cru.
Jésus reconnaît sa foi en l’appelant « fils d’Abraham », le croyant. La conclusion de Jésus est une parole décisive : « Aujourd’hui le salut est

arrivé pour cette maison ; le Fils de l’Homme est venu chercher et sauver
ce qui était perdu ». Par ailleurs, dans son Evangile, St Luc insiste sur
« l’aujourd’hui » du salut. La venue du Christ est un événement de salut,
depuis sa naissance (Lc 2, 11) jusqu’à sa mort sur la croix (Lc 23, 43).
Ce récit est une parabole de la mission de Jésus et de la réalité vivante du salut. En Jésus, désigné ici par le nom de « Fils de l’Homme », Dieu cherche l’homme et s’approche de lui, vient chez lui, sans craindre de se mêler aux pécheurs, pour le sauver. Zachée est la brebis perdue et retrouvée que le pasteur charge sur ses épaules pour la ramener au troupeau (Lc 15).
Comment le salut voulu par Dieu s’opère-t-il ? Dans le cas présent, tout s’est passé dans la relation entre Jésus et Zachée. Dans cette relation, Zachée se sent investi par une initiative qui vient le chercher là où il est. Devant cette initiative et cette prévenance, il reprend confiance en lui- même et consent à sa propre libération.

Quelques points d’attention :
Dans la rencontre avec le jeune homme riche, nous voyons une rencontre qui ne va pas vraiment jusqu’au bout. Faut-il pourtant parler d’échec ? Nous ne saurons jamais ce qu’est devenu ce jeune et comment la parole de Jésus l’a travaillé plus tard.
On aurait aimé que ce jeune homme suive Jésus, et ce n’est pas ce qui s’est passé. Cela peut aussi nous inspirer. Comment vivons-nous certaines situations qui ne vont pas comme nous l’aurions aimé ? Ou certaines rencontres qui « tournent court », qui nous laissent avec un sentiment de frustration. Comment les portons-nous dans la prière ?
Là aussi, nous voyons que Jésus n’est pas le propriétaire de cet homme. Il le laisse aller en toute liberté.
La rencontre avec Zachée est différente en ce sens. Elle se termine dans la joie.
Faisons-mémoire de toutes nos joies ; de celles que nous ressentons nous- mêmes et aussi de celles dont nous sommes témoins.

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